Ophélie POLLET - Le burn-out : "ce chemin de rupture qui m’a offert la possibilité de créer une vie authentique, habitée et pleine de sens."
Depuis toujours, j’ai cette soif de compréhension intérieure. Je me suis passionnée très tôt pour le développement de soi, pour toutes ces approches qui permettent d’aller au cœur de qui l’on est.
Je voulais comprendre : Pourquoi certaines situations m’impactent autant ? Pourquoi je me sens si différente ? Qui suis-je vraiment, au-delà de ce que j’ai appris à montrer ?
Creuser les couches de mon être est devenu un chemin.
Non pas pour me réparer, mais pour me rencontrer.
Cette exploration n’a jamais été théorique. Elle a toujours été intime, viscérale, existentielle. Comprendre mes émotions, mes fonctionnements, mes blessures, mes élans… C’est ce qui m’a permis, petit à petit, de (re)devenir actrice de ma vie.
"Ce n’est pas ce qui vous arrive qui importe, mais votre façon d’y réagir."
— Épictète
Ces mots résonnent profondément en moi. Ils résument ce que j’ai appris au fil des années : nous ne contrôlons pas toujours les événements, mais nous pouvons choisir d’en faire un chemin de conscience, de transformation, d’alignement.
Il ne s’agit pas de minimiser la douleur des expériences que nous traversons.
Il s’agit de les honorer, de les accueillir dans toute leur intensité… puis de les transmuter, de s’en libérer, pour qu’elles deviennent des ressources plutôt que des fardeaux.
Ce chemin, je l’ai parcouru. Du burn-out à la reconnexion à moi. De la perte de repères à l’ancrage profond. Et c’est ce chemin que j’accompagne aujourd’hui :
un retour à soi, à la présence, à l’élan vital.
Un chemin pour redevenir souverain·e dans sa vie, en accord avec son corps, son cœur, son âme. J’ai appris que ressentir ses émotions ne signifie pas leur donner les rênes.
Accueillir sa tristesse, sa colère, sa peur… oui. Mais sans leur laisser toute la place.
Les émotions sont précieuses : ce sont des messagères, des boussoles.
Mais elles ne sont pas qui nous sommes. Nous ne sommes pas nos émotions.
C’est en reconnaissant leur présence, sans nous y perdre, que nous retrouvons notre axe, notre clarté. Apprendre à ressentir sans être submergé·e. À écouter sans se laisser diriger. Reprendre doucement le gouvernail de sa vie, depuis un espace intérieur plus vaste, plus stable.
Et puis… se pardonner. Se pardonner quand on vacille, quand on oublie, quand on se laisse emporter. Se rappeler que la vie est mouvement, chaos, désordre… Et que c’est aussi cela, être vivant·e.
Comprendre que la vérité dépend de l’endroit où l’on pose son regard.
Rien n’est bon ou mauvais en soi. Il n’y a que ce que je choisis d’en faire, ici et maintenant, dans ce présent qui ne demande qu’à être investi.
Pendant longtemps, je me suis sentie « à côté » : trop intense, trop émotive, trop complexe. Mais aujourd’hui je sais : il n’y a rien à corriger. Rien à faire rentrer dans une case. Quand on est hypersensible, atypique, neurodivergent·e ou simplement profondément humain·e, il est essentiel d’apprendre à s’écouter.
À se comprendre dans sa singularité. À reconnaître les signaux subtils du corps, les élans du cœur, les appels de l’âme.
Ce que la société ne valorise pas toujours – notre profondeur, notre sensibilité, notre manière unique d’être au monde – est précisément ce qui fait notre richesse.
Ce n’est pas nous qu’il faut adapter à un système rigide, mais notre monde intérieur qu’il est urgent d’honorer.
À travers la sophrologie, l’EFT, et l’astrologie,
je vous propose un espace sécurisant, doux et profond pour ralentir, ressentir, respirer… et revenir à votre centre.